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Ce samedi 1er mai, nous célébrons les travailleurs et les travailleuses à l’occasion de la Fête du Travail. L’occasion pour DéFI de rappeler notre combat en faveur d’une politique de l’emploi plus juste pour toutes et tous.
Un climat peu avantageux pour l’emploi
Dans un contexte de crise économique, sociale et sanitaire, il peut être difficile de se projeter suffisamment dans l’avenir lorsqu’on entre dans la vingtaine. Et pourtant, c’est souvent à cette période que l’on entre sur le marché du travail, ou du moins, que l’on se questionne sur le choix d’un métier, d’un projet de vie professionnelle.
La crise du Covid rend cette quête éprouvante pour de nombreux étudiants et jeunes chercheurs d’emploi. Et ils ne sont pas seuls, puisque les mesures sanitaires et les conditions de travail actuelles poussent énormément d’employés – plus ou moins jeunes – à la porte suite à des licenciements et l’absentéisme en cause de problèmes de santé mentale notamment est maintenant fort répandu. Les entreprises peinent à survivre et les indépendants se noient dans les factures qui s’accumulent sans revenu.
Réparer les injustices
Les propositions et les réalisations ne manquent pas afin de pallier ces difficultés. Le ministre bruxellois DéFI de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt travaille sans relâche afin de résorber les inégalités exacerbées à cause de la crise.
Notamment, un droit aux allocations familiales pour les jeunes chercheurs d’emploi, un appel à projets de 750.000€ pour la promotion de la diversité en entreprise. Par ailleurs, DéFI a obtenu, pour l’année 2021, 87 millions d’euros supplémentaires pour soutenir la politique de l’emploi et de la formation pour répondre aux urgences que génère la crise.
En Wallonie, DéFI a formulé 12 propositions pour la relance. Articulées autour de 4 enjeux de société, ces propositions sont nourries des valeurs de DéFI pour une société post-covid plus juste, plus efficace et plus ambitieuse.