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Olivier Maingain, Président de DéFI, faisait sa rentrée médiatique, ce 4 septembre, sur les ondes de la RTBF mais aussi dans les colonnes du Soir.
Entretien | @OlivierMaingain au @lesoir : «La N-VA au gouvernement, ce sera un poison. Il n’y a aucun accord possible»https://t.co/QDYrm8Igqu par @mbierme et David Coppi pic.twitter.com/pHJpPdFFfp
— Le Soir+ (@lesoirplus) September 4, 2019
Alors qu’il évoluera dans les prochains mois comme délégué aux relations intra-francophones entre Bruxelles et la Wallonie, Olivier Maingain reste très critique concernant la situation des négociations fédérales : « je vois toute l’inconstance des partis francophones démocratiques. Tous disaient que la N-VA était infréquentable. Maintenant certains présidents francophones juge que la N-VA s’impose naturellement. » Le président de DéFI complète sa déclaration sur La Première en précisant « on a fait l’expérience du dialogue avec la N-VA au gouvernement et on a vu que c’était un poison. Ils n’ont qu’une seule obsession, affaiblir l’État. La précipitation serait mauvaise conseillère, nous n’avons pas à travailler avec un couteau sous la gorge« .
#DIRECT #Matin1 @tgadisseux / @OlivierMaingain “On a fait l’expérience de la @de_NVA au gouvernement, on a vu que c’était un poison. Ils n’ont qu’une seule obsession, affaiblir l’Etat”
— DéFI (@defi_eu) September 4, 2019
Parler avec la @de_NVA ? « On a fait l’expérience du dialogue avec @de_NVA, la précipitation serait mauvaise conseillère, nous n’avons pas à travailler avec un couteau sur la gorge. » @OlivierMaingain @defi_eu #matin1
— La Première (@lapremiere) September 4, 2019
Sur son rôle de délégué aux relations entre Bruxelles et la Wallonie, Olivier Maingain rappelle qu’il souhaite vivement la nomination d’un homologue wallon pour travailler sereinement à l’unité des francophones : « Renforcer l’efficacité de nos institutions en partant de la réalité vécue par les mondes académiques, économiques, la société civile. Je serai amené à prendre des contacts. Je vais écouter, prospecter. Je m’entourerai d’avis d’experts. Pour moi, l’unité des francophones, ce n’est pas uniquement l’unité de la langue, la culture, l’enseignement, c’est aussi le socio-économique. Il faudra se poser la question : comment la Wallonie et Bruxelles seront-ils plus forts économiquement ? Ensemble, évidemment. Du reste, quand nous avons élaboré le programme du gouvernement bruxellois, certains Wallons m’ont dit : pourquoi ne travaillez-vous pas avec des « pôles de compétitivité », à la façon de la Wallonie ? C’est juste. On doit définir des objectifs communs.«
« Il faut des outils institutionnels pour instaurer un dialogue économique entre Bruxelles et la Wallonie » @OlivierMaingain @defi_eu #matin1
— La Première (@lapremiere) September 4, 2019
#DIRECT #Matin1 @tgadisseux / @OlivierMaingain
s/ agent liaison “il faut du côté francophone avoir une réflexion sur l’efficacité de nos politiques, francophones entre francophones. On ne peut pas avoir de projet francophone sans fortifier l’aspect socio-économique francophone”— DéFI (@defi_eu) September 4, 2019